OGAWA Ito - La pateterie Tsubaki
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La papeterie Tsubaki
OGAWA Ito
Traduction Myriam Dartois-Ako
Editions Philippe Picquier
août 2018
384 pages
ISBN : 9782809713565
4ème de couverture :
Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l’art difficile d’écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l’encre, l’enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d’un singe, des lettres d’adieu aussi bien que d’amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c’est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre des réconciliations inattendues.
L’autrice (site de la maison d’édition) :
Née en 1973, Ogawa Ito est l’auteur de livres pour enfants et écrit des chansons pour le groupe de musique Fairlife. Le Restaurant de l’amour retrouvé, son premier roman, est un bestseller au Japon et a été adapté au cinéma en 2010 par la réalisatrice Mai Tominaga.
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Première déception pour un livre des éditions Picquier. Il en fallait une, c’est fait.
OK, que dire de ce roman à l’eau de rose si ce n’est que je m’y suis ennuyée page après page. OK, je ne suis pas fan du mode de vie japonais, n’y connais rien en calligraphie, et ce livre n’a rien arrangé.
La papeterie a servi de rince cerveau entre deux bouquins nettement plus intéressants