Je n'aurais pas dû
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La sonate oubliée
Christina Moreau
Editions Préludes
Janvier 2017
256 pages
ISBN : 9782253107811
4ème de couverture :
À 17 ans, Lionella, d’origine italienne, ne vit que pour le violoncelle, ce qui la distingue des autres adolescents de Seraing, la ville où elle habite en Belgique. Elle peine toutefois à trouver le morceau qui la démarquerait au prochain grand concours Arpèges. Jusqu’au jour où son meilleur ami lui apporte un coffret en métal, déniché dans une brocante. Lionella y découvre un journal intime, une médaille coupée et... une partition pour violoncelle qui ressemble étrangement à une sonate de Vivaldi. Elle plonge alors dans le destin d’Ada, jeune orpheline du XVIIIe siècle, pensionnaire de l’Ospedale della Pietà, à Venise, dans lequel "le prêtre roux", Antonio Vivaldi, enseignait la musique à des âmes dévouées.
Entremêlant les époques avec brio, ce premier roman vibrant nous fait voyager à travers la Sérénissime, rencontrer l’un des plus grands compositeurs de musique baroque, et rend un hommage poignant à ces orphelines musiciennes, virtuoses et très réputées au XVIIIe siècle, enfermées pour toujours dans l’anonymat.
L’auteur (site de l’éditeur) :
Christiana Moreau est une artiste autodidacte belge, peintre et sculptrice. Elle vit à Seraing, dans la province de Liège. La Sonate oubliée est son premier roman.
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L’argumentaire du livre me plaisait Lionella, jeune violoncelliste belge, d’origine italienne, très douée est confrontée à une œuvre inconnue peut-être attribuée à Vivaldi. C’est son grand ami qui a déniché ce trésor dans une brocante. Dans la boîte, il y avait également le journal d’une jeune fille, Ada. La mise en regard de deux périodes, de deux jeunes femmes unies par le même amour du violoncelle est intéressante.… Las, j’y ai trouvé une histoire convenue cousue de fil blanc, que la découverte d’une partie de la vie de Vivaldi n’a pas suffi à me faire vibrer.
Livre lu dans le cadre des 68 premières fois