Clotilde Coquet - Parle-moi du sous-sol

Parle-moi du sous-sol

Clotilde Coquet

Editions Fayard

Août 2014

216page

ISBN : 9782213681351

 

 

4ème de couverture :

La fable prétend que le travail est un trésor. Mais pour certains, il est seulement alimentaire. Ils sont nombreux, les employés surqualifiés de ce grand magasin de luxe, à enchaîner les contrats d’une semaine. Comme ce démonstrateur de karaoké spécialiste de Baudelaire. Ou cet ancien militaire, embauché comme vigile juste avant Noël pour éviter un attentat au rayon jouets. Caissière depuis peu au niveau - 1 avec un bac + 7, la narratrice ne serait-elle pas en droit d’espérer mieux ? Elle refuse de croire que ses perspectives se résument au fascicule Encaisser sans problème qu’on distribue aux débutants. Un inconnu à la cantine lui a bien promis des jours meilleurs, mais elle ne les voit pas venir. Et si c’était ça, la vraie vie ? Si l’avenir n’avait rien d’autre à lui offrir que cette menue monnaie à ranger méthodiquement dans le tiroir ? S’ils avaient tous passé leur tour ?

Clotilde Coquet est née en 1977. Parle-moi du sous-sol est son premier roman

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Comment parler d’un livre qui m’a ennuyée. Oui, c’est un livre réaliste que d’aucun relie à Zola et Au bonheur des dames, oui, il y a beaucoup d’heures d’observations, oui, c’est réaliste, oui c’est bien écrit… MAIS, voilà, la vie terne de la narratrice n’a pas su m’émouvoir.

Purée, comment peut-elle accepter ce mec qui n’en branle pas une parce que « grand-acteur-incompris », enfin plutôt, gros feignant immature ? Comment ne se bât-elle pas pour réaliser ses rêves ? C’est horrible d’avoir fait toutes ses années d’étude pour se retrouver caissière sans d’autres rêves à réaliser, sans plus aucun rêve et ce, avant d’avoir essayé quelque chose. Je sais qu’il est dur, voire très dur de reprendre son mémoire après une journée harassante, mais d’autres l’ont fait, le fond, alors pourquoi ce postulat ?

Ce livre n’est que tristesse et résignation et je crois que je ne l’ai pas admis. Les renards de la couverture, même attachés, essaieront de se libérer de leurs entraves. Dans le genre, j’ai préféré les tribulations d’une caissière.

 

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U
Beurk
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Z
Dommage, le postulat de départ est intéressant
S
C'est dommage car j'aime beaucoup le postulat de départ (autour de moi les surdiplômées que je connais, refusent de faire caissières...alors rien que le point de départ me tente....)<br /> Dommage
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Z
Moi aussi, cela m'intéressait, mais ce fut l'ennui total
A
Entre les renards et la caissière, quel grand écart !
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Z
Oui, grand écart pour moi
J
La couverture n'était déjà pas super attirante, ton billet enfonce le clou !
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Z
C'est pour que tu puisses y mettre un joli cadre ! avec des renards ???
A
Avec ce que tu en dis, je passe ... c'est vrai qu'il y a des personnages de romans que l'on aimerait bien secouer, voire leur flanquer deux baffes histoire de les faire réagir ;-)
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Z
Je me suis vraiment ennuyée
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